Abstract
Nous prenons le parti d’un Peter Sloterdijk maternel, celui dont la parole soigne, celui qui raconte qu’«il y a un trou au début et un trou à la fin», et qu’il faut «boucher les deux par la forme narrative». Car ces récits, cette parole couveuse, cette philosophie ovoïde, cet éloge du natal, ce fantasme vertical, dit-il encore, et c’est là que nous l’aimons le plus, sont des «formes de paniques».
Translated title of the contribution | On the Edges of the Empire: Measures of Peter Sloterdijk |
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Original language | French |
Pages (from-to) | online |
Journal | Le Merle |
Volume | 6 |
Issue number | 1 |
Publication status | Published - 1 Aug 2021 |